2 octobre 2009
Espoir
Voici devant mes yeux la table coutumière ;Les livres, la sébile(1) où le sable d'or luit,Et l'encrier, citerne obscure dont la nuitSe répand sous les doigts du poète en lumière. Je rêve , ce repos m'est dû. Le feu mourantMe jette un humble et tendre...