28 janvier 2010
Sur la première crise de goutte que j'eus en 1715
Le destructeur impitoyable,Et des marbres et de l'airain,Le Temps, ce tyran souverainDe la chose la plus durable,Sape sans bruit le fondementDe notre fragile machine ;Et je ne vis plus un momentSans sentir quelque changementQui m'avertit de sa ruine....