30 mars 2010
Le batteur de faux
Le matin frais et pur scintille de rosée.Le faucheur s'est assis, une bouteille en main,Sous l'aubépine creuse au bord du vieux chemin ;Sa faux, humide encor, est près de lui posée Il vide un dernier verre. Et, dans ses poings velus,Prend l'enclume d'acier...